L e s   b a i n s   c a r b o - g a z e u x


L'utilisation thérapeutique des bains de dioxyde de carbone remonte à des temps très anciens. Les bains au dioxyde de carbone sont également appelés Nauheim, nom de la ville Allemande, connue pour ses sources d'eau chaude naturellement gazeuse. Les bains de Nauheim ont été la principale thérapie utilisée pour traiter de nombreuses maladies occidentales au dix-neuvième siècle.

Le manque d'oxygène est la première cause de toutes les maladies chroniques dégénératives, et le dioxyde de carbone est essentiel en permettant à l' organisme d'utiliser l'oxygène. L'administration de dioxyde de carbone  permet de guérir les métabolismes endommagés et d'inverser les maladies chroniques. Le dioxyde de carbone apporte une multitude de bienfaits à l'organisme; il est anti inflammatoire, un antioxydant puissant,  et un vasodilatateur de première ordre; c'est une des raisons pour lesquelles les bains effervescents sont si efficaces dans le traitement de l'hypertension et des affections cardiaques.

  • "Les bains d'eau gazeuse augmente le flux sanguin artériolaire de la peau, l'effet vasodilatateur étant directement proportionnel à la concentration de dioxyde de carbone du bain minéral."                                                        Docteur Gabrièla Docaru,scientifique

Finalement, l'augmentation du flux sanguin dans le corps signifie une meilleur distribution de l'oxygène et d'autres nutriments à toutes les cellules et tous les tissus, ainsi  qu'une meilleure élimination des débris cellulaires morts et des autres déchets. Le bénéfice direct est l'augmentation du taux métabolique.

Les bains carbo-gazeux procurent avant tout une sensation de relaxation profonde, mais ils sont indiqués pour traiter et soulager différentes pathologiques telles que : 

  • les maladies cardio-vasculaire
  • les rhumatisme, l'arthrose,
  • la cellulite superficielle,
  • le vieillissement de la peau, car ce gaz oxygénant agissant en profondeur, lisse la texture de la peau en relançant la production de collagène.

D'après Mark Sloan